Un air de déjà vu !
Quatrième de couverture :
"Parfois, il suffit de manger pour que tout, ou presque, puisse être dit." Pour Klara, c'est une aubaine, car Zsuzsa et Péter, ses parents, ne lui ont rien dit, rien transmis de leur histoire, restée cadenassée derrière le rideau de fer. Même leur langue maternelle, ils l'ont oubliée.
Seule concession à leurs origines, la cuisine de Zsuzsa entre goulasch et Tokay. Klara chérit ce lien. Son alphabet intime ce sont ces voyelles paprika, ces consonnes galuska, ces accents graves au goût de noix, aigus à l'amertume du concombre.
Mon avis :
Ce roman sent Budapest, ce roman a le goût de la campagne hongroise, ce roman coule comme le Danube, ce roman raffraichit comme le Balaton... J'ai eu la sensation de revenir un an en arrière, j'ai eu la sensation d'être à nouveau dans cette Hongrie aux habitants si humbles si dévoués, j'ai eu la sensation d'être à nouveau en Hongrie aux spécialités culinaires extraordinaires, j'ai eu la sensation d'être à nouveau en Hongrie et ça m'a fait un bien fou !